Résumé d'un cour

l'introduction de la drogue 
"Les drogues sont donc des substances d'origine naturelle ou synthétique qui modifient l'activité mentale, les sensations et le comportement. Elles sont « psychoactives » et provoquent des troubles physiques et psychiques.

Les causes de la consommation de la drogue chez les jeunes :
L'adolescent prend des drogues pour des raisons variées:
-Pour partager une expérience sociale ou se sentir membre d'un groupe social.
-Pour soulager le stress.
-Pour faire de nouvelles expériences et prendre des risques.
-Pour soulager les symptômes des troubles de santé mentale par exemple : dépression ou anxiété.

Quels sont les effets de la drogue sur les jeunes ?
Parmi les conséquences néfastes qu'entraînent l'usage et l'abus des drogues chez les jeunes, on peut citer la dépendance, les surdoses, les accidents, les dommages physiques et psychologiques et, parfois, un décès prématuré.



les solutions pour lutter contre la drogue chez les jeunes:
L'entourage et le milieu de vie. Des études ont démontré qu'il existait une corrélation entre la pauvreté et la consommation de drogues. ...
L'importance de l'encadrement. ...
Surveillez ses fréquentations. ...
Instaurez un climat de confiance. ...
Soyez là pour lui. ...
Encouragez-le à développer ses passions.

Mercii

1. Définitions
. Une plaie est une effraction de la barrière cutanée par un agent vulnérant.
2. Causes:
Les plaies sont généralement secondaires à un traumatisme. Elles sont provoquées : 
• De l’extérieur vers l’intérieur : coupure, piqûre, projectile, coup … 
• De l’intérieur vers l’extérieur : un os cassé qui perfore la peau (fracture

3.Aspect des plaies :
La connaissance des différents types de plaies permet au secouriste d’apprécier plus 
facilement la profondeur, donc la gravité d’une plaie et de décrire précisément la 
lésion lors de l’alerte. 
3.1 La contusion
Un choc ou un coup peut provoquer une rupture des vaisseaux situés immédiatement 
sous la peau. 
3.2 L’écorchure (éraflure) 
Il s’agit d’une plaie simple, superficielle, qui n’atteint pas la peau en profondeur. Elle 
donne un aspect rouge et suintant de la peau. Elle est très douloureuse. 
3.3 La coupure
La coupure est provoquée par un objet tranchant : verre, lame d’un couteau…
Il s’agit de l’aspect le plus fréquent d’une plaie. Elle peut être accompagnée d’un 
saignement abondant ou d’une lésion d’un organe vital sous-jacent.

Suite au cour des plaies :
3.4. La plaie punctiforme :C’est une plaie souvent profonde car provoquée par un objet pointu
(arme blanche, balle…) qui a
traversé bien souvent les organes
sous-jacents La gravité de cette
plaie ne doit pas être méconnue
même si elle ne parait pas
extérieurement très importante.
3.5. La lacération
Il s’agit d’une déchirure souvent
complexe de la peau par arrachement ou
écrasement . La plaie est
irrégulière avec des lambeaux de peau.
Les dégâts de la peau et les hématomes
associés sont importants.

La définition de secourisme:
Secourisme, ensemble des techniques et des mesures mises en œuvre en
urgence pour venir en aide à un malade ou à un accidenté, et qui peuvent être
apprises et appliquées par des personnes autres que les professionnels de la
santé.
Les objectifs de secourisme:
•^Protéger le blessé d'une source de danger ;
f Alerter les secours spécialisés ; , â
Effectuer les premiers soins permettant de sèulager la.douleur et l'anxiété,
et d'empêcher l'aggravation de l'état de la victime, dans l'attente d'une prise
en charge médicale plus appropriée. t
Dans les cas extrêmes, ces premiers soins peuvent sauver la vie de la personne
secourue.

1)- Définition:
   La glycémie capillaire ou hémoglucotest (HGT) est une technique de lecture instantanée de la glycémie vasculaire capillaire.
2)-Indications :
-Dépister un trouble biologique.
-Surveiller un traitement.
-Surveillance d'un patient diabétique.
3)-Matériel :
-Lecteur instantané de glycémie.
-Bandelette compatible avec le lecteur.
-Autopiqueur à usage unique.
-Compresses.
-Savon doux.
-Antiseptique ou alcool modifié à 70°.
-Gants non stériles à usage unique.
-Plateau désinfecté.
-Réniforme (haricot).
-Container à déchets contaminés piquants.
-Désinfectant de surface et chiffonnette.
-Nécessaire à l'hygiène des mains.
4)-Risques et complications
-Erreur de lecture .
-Défaut de calibrage.
-Mauvaise conservation des bandelettes.
-Mauvaise manipulation des bandelettes : tordues, -cellules sales ou touchées.
-Risque altération cutanée et de perte de la sensibilité.
5)-Surveillances et évaluations:
Résultat de la glycémie capillaire :
norme : 0,8  1,2 g/L      soit   3,3  5,5 mmol/L
Comparer le résultat aux résultats précédents.
Surveiller l'état cutanée

                              Les entorses
●Définition :
Une entorse est une élongation d’une ou plusieurs ligaments d’une articulation. 
*les ligaments donnent une stabilité aux articulations. Ils ont un rôle de protéger les articulations lors de mouvements forcés et à connecter les os entre eux dans les articulations. 
●Types d'entorses :
1/Légère :
       -Étirements des ligaments (foulure).
       -L’articulation est encore fonctionnelle. 
2/Modérée :
       -Étirement des ligaments accompagné d’une déchirure partielle. 
3/Grave :
        -Rupture complète et possibilité d’arrachement osseux. 
●Étiologies :
-Changement brusque de direction en créant une forte tension sur l’articulation. 
-Un coup direct d'un articulation.
-une foulure de la cheville secondaire à une marche sur une surface accidentée. 
●Signes cliniques :
1\Si l’entorse est légère :
Douleur,un œdème,les mouvements sont possibles. 
2/Si l’entorse est modéré :
Douleur, un œdème, hématome,une écchymose ,les mouvements sont limités mais possibles.
3/Si l’entorse est grave :
Douleur intense, perception d’un craquement ou d’une sensation de déchirure, un œdème, hématome, écchymose,les mouvements sont impossibles. 
●Conduite à tenir :
-Immobilisation.
-La glace pour stopper la douleur, l’œdème, l’hématome. 
-Position d’attente. 
-La surveillance. 

Définition :
Pénétration et prolifération dans le corps d'un micro-organisme invisible à l'œil nu (bactérie, virus), susceptible de provoquer un problème de santé. Une infection peut être locale ou généralisée (septicémie).

Cause :
Les agents pathogènes chez l'homme sont variés : virus, bactéries, champignons etc. Ils peuvent être responsables de maladies plus ou moins graves et toucher tous les organes ou systèmes de l'organisme. La prise en charge de ces maladies diffère selon la nature de l'agent infectieux en cause

Infection grave :
Le sepsis est la conséquence d'une infection grave qui débute généralement localement (péritonite, pneumonie, infection urinaire, infection sur cathéter, etc.). Elle touche souvent des patients dont le système immunitaire est affaibli.

Quelle différence entre contamination et infection :
Une contamination se produit lorsque des micro-organismes ou des microbes sont transmises à un être vivant (humain ou animal) à partir d'une autres, d'un animal ou d'un support non-vivant (eau, nourriture, objet, etc. ) et y persiste. On parlera d'infection lorsque cette contamination conduit à une maladie.

Traitement :
La plupart des infections bactériennes peuvent être traitées par des antibiotiques prescrits par votre médecin. Il existe divers types d'antibiotiques utilisés pour traiter différentes bactéries. Il existe aussi plusieurs vaccins pour prévenir certaines infections bactériennes spécifiques

infection

° définition :
Pénétration et prolifération dans le corps d'un micro-organisme invisible à l'œil nu (bactérie, virus), susceptible de provoquer un problème de santé. Une infection peut être locale ou généralisée (septicémie).

°  cause :
Les agents pathogènes chez l'homme sont variés : virus, bactéries, champignons etc. Ils peuvent être responsables de maladies plus ou moins graves et toucher tous les organes ou systèmes de l'organisme. La prise en charge de ces maladies diffère selon la nature de l'agent infectieux en cause

° Infection grave :
Le sepsis est la conséquence d'une infection grave qui débute généralement localement (péritonite, pneumonie, infection urinaire, infection sur cathéter, etc.). Elle touche souvent des patients dont le système immunitaire est affaibli.

° Quelle différence entre contamination et infection :
Une contamination se produit lorsque des micro-organismes ou des microbes sont transmises à un être vivant (humain ou animal) à partir d'une autres, d'un animal ou d'un support non-vivant (eau, nourriture, objet, etc. ) et y persiste. On parlera d'infection lorsque cette contamination conduit à une maladie.

°Traitement :
La plupart des infections bactériennes peuvent être traitées par des antibiotiques prescrits par votre médecin. Il existe divers types d'antibiotiques utilisés pour traiter différentes bactéries. Il existe aussi plusieurs vaccins pour prévenir certaines infections bactériennes spécifiques .

Définition:

1)- Dé

PANARI
1-Définition:
Le panaris, ou mal blanc, est une infection bactérienne des doigts ou des orteils, avec formation d’un abcès.  
2-Pathogénie :
1-Staphylocoque doré (70 %) (Portage physiologique en particulier nasal);
2- Entérobactéries (20 %);
3-Streptocoque (10 %, évolution rapidement nécrotique).

3-Etiologies :
 -Les manucures un peu trop agressives ;
 -Les traumatismes des cuticules ;
 -L arrachement des petites peaux ;
-Les ampoules, les échardes, les piqures d insectes… ;
-Les personnes souffrant de diabète alcoolo- dépendance ou de faiblesse immunitaire sont plus a risque de panaris.

4-Signes cliniques:
1-Stade phlegmasique ou inflammatoire:
-Douleur spontanée à type de brûlure / sensation de cuisson, non pulsatile non insomniante.
-Inflammation locale mais pas de signes régionaux ni généraux
-Stade réversible spontanément ou sous traitement médical

2-Stade de collection:
 Région très inflammatoire, douleur intense, pulsatile, permanente et insomniante.
 Adénopathie axillaire, parfois fièvre 38 °C
 Stade irréversible dont le traitement est chirurgical.
3-Stade de complications
 En surface (peau) : fistulisation, atrophie pulpaire cicatricielle.
 En profondeur : ostéite, ostéo-arthrite, phlegmon.
 Régionale : lymphangite et adénite.
 Générale : bactériémie à l'origine de frissons et fièvre, emboles septiques.


  5-Examens complementaires :

 -Aucun examen complémentaire à réaliser au stade phlegmasique.
 -RX doigt centrée F + P : recherche d'un corps étranger radio opaque ou signes d'ostéite et/ou arthrite
 -Bactériologie :
Germes cutanés inoculés par blessure surtout : staph doré , entérobactéries , streptocoque .


6-Evolution-Complication : Favorable :
-Si les moyens de défense de l’organisme l’emportent l’infection est stoppée au stade phlegmasique ; c’est le cas le plus fréquent chez les sujet sain, c’est également le cas quand un traitement antibiotique efficace est instauré précocement.
-Au stade de collection, il persiste une possibilité de guérison spontanée par fistulisation à la peau qui tarit et permet la cicatrisation.
-Un traitement chirurgical adapté et pratiqué à temps va permettre une cicatrisation, qui sera cependant plus longue en raison du délabrement chirurgical (pansements réguliers avec surveillance rapprochée).

    7-Prévention :
 -Se laver les mains régulièrement.
 -Porter des gants pour jardiner et pour effectuer les autres travaux manuels.
 -Nettoyer et désinfecter immédiatement toute laie sur un doigt.
 -Se couper les ongles régulièrement.
-Veiller  à  ne pas se ronger les ongles et  à ne pas arracher les petites peaux autour des ongles.
-Eviter de refouler les cuticules (petites zones de peau  à  la base de l’ongle).
8- Traitement :
-Sérothérapie antitétanique systématique
1-Panaris non collecté ou phlegmasique:
-Traitement médical ambulatoire:
-Bains chauds additionnée d'un antiseptique, pansements antiseptiques (Hexomédine, Dakin…)
-Immobilisation relative – protection  par un pansement-
-Antibiotique par voie générale.
-La surveillance doit être quotidienne à la recherche d’une amélioration franche à la 48ième h . Poursuivre alors le traitement jusqu’à guérison complète vers J7-J10.
2-Panaris collecté:
-Hospitalisation en urgence, patient laissé à jeun
-Bilan préopératoire (groupe Rh et hémostase) et bilan biologique minimal (NFS : HLPN modérée, glycémie )
-Principe:
-Excision chirurgicale du trajet de la plaie contaminante et de l’ensemble des tissus nécrosés  +  lavage.
-En milieu chirurgical, sous anesthésie locorégionale ou générale, sous garrot pneumatique.
-PAS d’anesthésie locale.
  -Prélèvements à visée bactériologique + traitement antibiotique  (antistaph : Péni M).
  -Pansement à plat sans fermeture avec cicatrisation dirigée (pansements gras), rééducation
  -Si nécessaire, amputation digitale
-Panaris péri-unguéal : simple résection du couvercle épidermique.
-Panaris sous-unguéal : résection au moins partielle de l’ongle.
-Panaris de la pulpe : mise à plat large de toute la zone pulpaire infecté.
-En l’absence d’amélioration en 24à 48 h : suspecter traitement insuffisant / évolution torpide / complication.


9-Conclusion :
-Le panaris est du à une infection bactérienne des tissus autour d’un angle.
-Il se manifeste par une rougeur et une tension sur le pourtour de l’ongle de la main, plus rarement d’un orteil, accompagné d’un gonflement, d’une sensation de chaleur et d’élancements douloureux. Puis la douleur devient permanente et pulsatile.
-Il doit être soigné sans attendre pour éviter sa propagation.
-Il doit être traité rapidement car il s’agit d’une infection à germes pyogènes d’une partie fragile du corps, susceptible d’atteindre les gaines tendineuses, les os et les articulations des mains (perte de la mobilité et la sensibilité de la main).

Linjection sous-cutanée (hypodermique)

•Définition
    L'injection sous-cutanée (S/C) est l'administration d'un produit médicamenteux présenté sous forme injectable dans le tissu cellulaire sous-cutané

•Matériel pour lasepsie :
Savon liquide
Produit antiseptique (alcool à 70°)
Cupule contenant des boules de coton ;
Gants non stériles à usage unique

•Matériel pour linjection :
Chariot propre et désinfecté ;
Plateau désinfecté ;
Haricot et conteneur pour aiguilles souillées (étage inférieur) ;
Seringue pour injection sous-cutanée stérile (Aiguille sous-cutanée orange : 25 Gauge, marron : 26 Gauge) ;
Produit à injecter.

•Technique :
Vérifier la prescription médicale ;
Identifier le malade et le prévenir du soin
Lavage simple des mains ;
Préparer le matériel sur le chariot ;
Vérifier la date de péremption du produit et de la seringue;
Refaire une désinfection des mains ;
Préparer le produit à injecter en respectant les règles dasepsie et la dose prescrite ;
Installer confortablement le patient ;
Mettre les gants non stériles ;
Désinfecter la zone de linjection (mouvement circulaire en partant du centre vers l'extérieur afin de tuer et d'éloigner les germes du point dinjection) ;
Faire un pli cutané entre le pouce et l'index.
Introduire l'aiguille avec un angle de 45° ou 90° selon l'épaisseur du tissu cutané, d'un geste rapide, précis et ferme.
Ne pas relâcher la peau car le relâchement des tissus risquerait d'introduire l'aiguille dans un muscle.
Tirer le piston pour vérifier l'absence d'un reflux sanguin.
S'il y a un reflux sanguin, sortir l'aiguille et préparer une nouvelle seringue ;
Injecter lentement le produit ;

Retirer l'aiguille d'un geste rapide et recouvrir le point de ponction d'une compresse imbibée d'antiseptique ;
Jeter immédiatement la seringue et (l'aiguille dans le conteneur à aiguilles) ;
Eliminer les déchets désinfecter et ranger le matériel utilisé ;
Effectuer un lavage simple des mains.
Réinstaller le patient ;
Noter le soin sur la fiche de traitement du malade

Surveillance
le faciès,
Le point dinjection, (douleur, rougeur, chaleur, dème),
Signaler toute anomalie au médecin et la transcrire dans le dossier de soins.

Les phlegmons 


définition : c'est infection des gaines digital ou digito-carpiennes radiale ou ulnaire sont collection de l'espace dorsal de la main 
Clinique
Douleur
Œdème
Attitude du doigt en crochet
Traitement
C'est une urgence chirurgicale
On pratique une exeision de tous les tissus infectés et un drainger sur le même principe des phlegmons des gaines